Je devais aller à la pêche aujourd'hui. Mais mon fils le pêcheur avait trente-neuf de fièvre ce matin sans symptôme apparent. Je n'ai pas fait médecine mais comme le premier faisait la même chose : grosse fièvre, trois jours, un centimètre et demi supplémentaire, je vais attendre les trois jours de carence avant d'aller en consultation.
Donc il fallait trouver une activité alternative pour la journée et nous avons décidé d'aller faire un tour à la SPA. Oui, j'ai émis l'hypothèse d'adopter un chien lorsque les douze chats du voisin sont venu en cœur uriner sur tout ce qui était en textile sur ma terrasse, cousins, couvre chaise, nappe et même sur le parasol qui était posé contre le mur. Et puis en plus comme nous n'avons pas sonnette, il aboiera lorsque quelqu'un nous rendra visite. Je lui apprendrai même à mordiller aimablement les mollets du facteur, juste pour me faire rire. (Il faut dire que j'ai toujours une dent contre la Poste et comme les miennes commencent à vieillir...)
Bref, nous voilà donc parti vers le refuge des animaux. J'avais préalablement consulté l'adresse sur une carte et ça me semblait facile. Et bien, heureusement qu'on habite sur une île et que quelque soit le chemin que je prenne j'arriverais à la mer car ma carte devait dater de l'époque des cartographes arabes quand les gens se baladaient en calèche, en charrettes à bœuf, ou en chaises à porteurs.
La fièvre montait. La sienne et la mienne et on ne trouvait pas la SPA.
Après plusieurs détours, retours, et péripéties, j'ai enfin trouvé la bonne route. C'était une grande ligne droite avec des groupes de deux ou trois femmes tous les dix mètres.
Silence dans la voiture : Pourvu que mon aîné ne demande pas ce qu'elles font là les dames.
Quelle idée charmante de situer la SPA dans le bois de Boulogne !
J'avais l'air malin dans ma voiture avec ma petite famille à son bord en traversant une haie d'honneur de péripatéticiennes si peu vêtues mais il n'y eut aucune question hasardeuse.
Etant donner cela, comme je n'avais pas trop envie de revenir, on a pris un chien...
En fait, ils sont doués en marketing la SPA.
Donc il fallait trouver une activité alternative pour la journée et nous avons décidé d'aller faire un tour à la SPA. Oui, j'ai émis l'hypothèse d'adopter un chien lorsque les douze chats du voisin sont venu en cœur uriner sur tout ce qui était en textile sur ma terrasse, cousins, couvre chaise, nappe et même sur le parasol qui était posé contre le mur. Et puis en plus comme nous n'avons pas sonnette, il aboiera lorsque quelqu'un nous rendra visite. Je lui apprendrai même à mordiller aimablement les mollets du facteur, juste pour me faire rire. (Il faut dire que j'ai toujours une dent contre la Poste et comme les miennes commencent à vieillir...)
Bref, nous voilà donc parti vers le refuge des animaux. J'avais préalablement consulté l'adresse sur une carte et ça me semblait facile. Et bien, heureusement qu'on habite sur une île et que quelque soit le chemin que je prenne j'arriverais à la mer car ma carte devait dater de l'époque des cartographes arabes quand les gens se baladaient en calèche, en charrettes à bœuf, ou en chaises à porteurs.
La fièvre montait. La sienne et la mienne et on ne trouvait pas la SPA.
Après plusieurs détours, retours, et péripéties, j'ai enfin trouvé la bonne route. C'était une grande ligne droite avec des groupes de deux ou trois femmes tous les dix mètres.
Silence dans la voiture : Pourvu que mon aîné ne demande pas ce qu'elles font là les dames.
Quelle idée charmante de situer la SPA dans le bois de Boulogne !
J'avais l'air malin dans ma voiture avec ma petite famille à son bord en traversant une haie d'honneur de péripatéticiennes si peu vêtues mais il n'y eut aucune question hasardeuse.
Etant donner cela, comme je n'avais pas trop envie de revenir, on a pris un chien...
En fait, ils sont doués en marketing la SPA.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire