Suivi médical.

Suivi médical.

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Première poussée : Septembre 2000
* Deuxième poussée : Décembre 2001
* Arrêt du lait de vache : Décembre 2001
* Troisième poussée (après gavage de crème chantilly) : Juillet 2007
* Diagnostique : Juillet 2007
* Suivi du régime Seignalet strict : Juillet 2007
* Depuis : Et bien, rien. Même pas le quart du début d'un fourmillement. Ah si ! Ma main gauche m'a grattouillé début 2013.

lundi 7 novembre 2011

Foutu de sort !

Le problème dans les changements de vie, c'est que le moindre événement négatif prend une ampleur démesurée, genre signe du destin que c'était le bon choix, et que le sort en profite pour se rappeler à votre bon souvenir.

Nous étions donc arrivés, avions pris nos quartiers et commencions à effectuer le pèlerinage des administrations dans notre Golf 3 sans age.

Et paff !

Un pseudo embouteillage, une voiture qui freine, moi qui freine en retard et collision ! Je ne suis d'ailleurs pas sûr et certain d'avoir freiner. A vrai dire je ne m'en souviens plus, c'est l'avantage d'avoir des trous dans le cerveau, on ne se souvient que de ce que l'on veut. Bref, une voiture emboutie, un radiateur percé et plus de peur que de mal.

Deux jours plus tard, en attendant que je change le radiateur et redresse un peu la tôle froissée, je prend la voiture de ma mère une vectra dont se servit Jules César pour traverser le Rubicon et qui déjà perdait un liquide étrange, couleur marron sale et assez épais. Une grosse côte (10km à 9% de moyenne) pour monter à la maison, le thermomètre moteur qui monte à 110° et le même liquide qui s'échappe du capot pour se déposer sur le pare-brise.

Arrêt d'urgence sur la voie éponyme.

Le joint de culasse.

Pas de chance avec les voitures mais au moins maintenant je me suis mis à la mécanique !

Dans l'absolu, tout est relatif. Je suis sous le soleil, dans une île tropicale, avec vue sur la mer, des fleurs étranges et des fruits aux couleurs chatoyantes, ou le contraire, donc même en panne, même avec la scoumoune de François Perrin dans La Chèvre, même au bord du chaos, et bien la misère est quand même moins pénible au soleil.

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