Quand le réveil a sonné ce matin. Je me suis dit :
Flûte alors ! C'est quand même dimanche ! Quelle grande idée d'avoir mis mon réveil à 5h45 ! C'est décidé, je me lève pas !
Quinze minutes plus tard, le cacao des enfants était prêt, le café coulé et je m'apprêtait à faire des œufs aux plat. Bien sûr une pensée d'envergure atomique m'avait fait changé d'avis.
Dans un éclair de lucidité, j'ai imaginé mon aîné, pleurant, criant, hurlant et étant impossible toute la journée car je ne l'avais pas amené à son premier tournois de handball.
Ce que je ne savais pas c'est qu'au moment de partir j'allais décider d'y aller aussi. J'ai donc traversé l'île en diagonal par une route de montagne digne d'un grand huit en suivant le bus qui conduisait mon fils vers les terrains herbeux de Saint-André.
La ville du nom de l'attaché de com de JC nous a porté chance car si la météo avait annoncé de la pluie, nous avons eu une canicule. Les organisateurs étaient tellement désabusés que les deux arbres aux feuilles clairsemées et la malheureuse tente de jardin furent rapidement pris d'assaut si bien que la pause de midi fut rallongée pour éviter que les apprentis handballeurs grillent sur pieds.
J'ai donc regardé jouer des enfants à la balle toute la journée, je suis revenu chez moi cramé dans les deux sens du terme mais j'ai passé un bon dimanche ! Comme quoi parfois les décisions de dernière minute peuvent avoir du bon !
Je me suis même demandé un instant si je n'allais pas reprendre une licence et l'idée des footings, des courbatures et des blessures à venir eurent raison de mon engouement. Chacun son tour, dorénavant je reste au bord du terrain mais la prochaine fois j'emmène un parasol !
Flûte alors ! C'est quand même dimanche ! Quelle grande idée d'avoir mis mon réveil à 5h45 ! C'est décidé, je me lève pas !
Quinze minutes plus tard, le cacao des enfants était prêt, le café coulé et je m'apprêtait à faire des œufs aux plat. Bien sûr une pensée d'envergure atomique m'avait fait changé d'avis.
Dans un éclair de lucidité, j'ai imaginé mon aîné, pleurant, criant, hurlant et étant impossible toute la journée car je ne l'avais pas amené à son premier tournois de handball.
Ce que je ne savais pas c'est qu'au moment de partir j'allais décider d'y aller aussi. J'ai donc traversé l'île en diagonal par une route de montagne digne d'un grand huit en suivant le bus qui conduisait mon fils vers les terrains herbeux de Saint-André.
La ville du nom de l'attaché de com de JC nous a porté chance car si la météo avait annoncé de la pluie, nous avons eu une canicule. Les organisateurs étaient tellement désabusés que les deux arbres aux feuilles clairsemées et la malheureuse tente de jardin furent rapidement pris d'assaut si bien que la pause de midi fut rallongée pour éviter que les apprentis handballeurs grillent sur pieds.
J'ai donc regardé jouer des enfants à la balle toute la journée, je suis revenu chez moi cramé dans les deux sens du terme mais j'ai passé un bon dimanche ! Comme quoi parfois les décisions de dernière minute peuvent avoir du bon !
Je me suis même demandé un instant si je n'allais pas reprendre une licence et l'idée des footings, des courbatures et des blessures à venir eurent raison de mon engouement. Chacun son tour, dorénavant je reste au bord du terrain mais la prochaine fois j'emmène un parasol !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire