Ce doit être une caractéristique humaine. En y réfléchissant, c'est peut-être même à cause de cela que l'homme a trouvé comment faire du feu, comment traire une vache ou comment se déplacer sur l'ensemble de la Terre. Les grandes migrations, du néolithique jusqu'à aujourd'hui ont toujours la même origine : C'est sûrement mieux ailleurs !
Donc on se plaint, on n'est pas content de ce que l'on a et on se demande toujours pourquoi le voisin a une plus grande voiture, ou plus grande maison, ou plus grande télé mais jamais pourquoi il a de plus grandes oreilles !
La nature nombriliste de l'homme le fait se focaliser sur ses propres problèmes et lorsqu'il regarde autour de lui, il n'y voit que le mieux, comme si on ne voyait que la poussière d'or dans un tas de fumier et que même si on est déjà en argent, on se demande :
- L'argent c'est bien mais pourquoi je suis pas en or ?
Et donc on va aller gueuler sur le fermier pour être en or !
Je suis d'accord que c'est toujours difficile de perdre des acquis sociaux, un certain confort ou une manière de vivre mais il ne faut quand même pas abuser. Personnellement je suis très content de ce que j'ai. Je crois bien que même si je grognais quelques fois par le passé ou que je grogne encore parfois, j'ai toujours été content de ce que j'avais.
Quand je regarde autour de moi, je ne vois que des gens se plaindre, de ceci ou de cela, de la vie chère (ce qui dans l'idée même est débile car chère par rapport à quoi ? Au passé ? On est bien d'accord en 1960 le litre de lait coûtait 50cts... de francs) ou des crottes de chien sur les trottoirs. Et puis quand je regarde plus loin, je vois encore les gens se plaindre du chômage et de leur condition de travail. Plus loin, c'est des condamnations à mort et de la lapidation des femmes infidèles. Toujours plus loin c'est du travail des enfants ou de l'esclavage sexuel. Et le plus loin que je puisse voir, c'est une femme d'une maigreur inhumaine portant dans ses bras un enfant de quatre ans de trois kilos avec une tête énorme qui se plaint qu'elle n'a qu'une poignée de riz à lui donner chaque jour et qu'eux deux n'espèrent vivre que jusqu'à demain.
Alors je crois que c'est facile de se plaindre de sa vie lorsque l'on vit dans un pays riche, où tout le monde a une télé, un téléphone portable et du pain sur la table et où la personne la plus pauvre serait un prince dans un autre pays un peu plus loin.
L'important dans la vie c'est d'être pas mort ! Et on a trop souvent tendance à l'oublier.
Donc on se plaint, on n'est pas content de ce que l'on a et on se demande toujours pourquoi le voisin a une plus grande voiture, ou plus grande maison, ou plus grande télé mais jamais pourquoi il a de plus grandes oreilles !
La nature nombriliste de l'homme le fait se focaliser sur ses propres problèmes et lorsqu'il regarde autour de lui, il n'y voit que le mieux, comme si on ne voyait que la poussière d'or dans un tas de fumier et que même si on est déjà en argent, on se demande :
- L'argent c'est bien mais pourquoi je suis pas en or ?
Et donc on va aller gueuler sur le fermier pour être en or !
Je suis d'accord que c'est toujours difficile de perdre des acquis sociaux, un certain confort ou une manière de vivre mais il ne faut quand même pas abuser. Personnellement je suis très content de ce que j'ai. Je crois bien que même si je grognais quelques fois par le passé ou que je grogne encore parfois, j'ai toujours été content de ce que j'avais.
Quand je regarde autour de moi, je ne vois que des gens se plaindre, de ceci ou de cela, de la vie chère (ce qui dans l'idée même est débile car chère par rapport à quoi ? Au passé ? On est bien d'accord en 1960 le litre de lait coûtait 50cts... de francs) ou des crottes de chien sur les trottoirs. Et puis quand je regarde plus loin, je vois encore les gens se plaindre du chômage et de leur condition de travail. Plus loin, c'est des condamnations à mort et de la lapidation des femmes infidèles. Toujours plus loin c'est du travail des enfants ou de l'esclavage sexuel. Et le plus loin que je puisse voir, c'est une femme d'une maigreur inhumaine portant dans ses bras un enfant de quatre ans de trois kilos avec une tête énorme qui se plaint qu'elle n'a qu'une poignée de riz à lui donner chaque jour et qu'eux deux n'espèrent vivre que jusqu'à demain.
Alors je crois que c'est facile de se plaindre de sa vie lorsque l'on vit dans un pays riche, où tout le monde a une télé, un téléphone portable et du pain sur la table et où la personne la plus pauvre serait un prince dans un autre pays un peu plus loin.
L'important dans la vie c'est d'être pas mort ! Et on a trop souvent tendance à l'oublier.